Rejoignez-nous

International

Jorge Martin s'engage avec Aprilia à partir de 2025

Publié

,

le

Jorge Martin roulera pour l'écurie Aprilia dès la saison prochaine. (© KEYSTONE/EPA/SIU WU)

Jorge Martin (Ducati-Pramac), leader du championnat du monde, s'est engagé avec Aprilia à partir de la saison 2025. Il a signé un "contrat de plusieurs années", a indiqué lundi l'écurie italienne.

Cette annonce est un coup de tonnerre car elle devrait envoyer le sextuple champion du monde espagnol Marc Marquez, qui avait rejoint en janvier l'équipe satellite Ducati-Gresini après dix ans chez Honda, dans l'équipe officielle Ducati que convoitait l'actuel vice-champion du monde.

Martin (26 ans), qui évolue depuis quatre saisons dans l'équipe satellite Ducati-Pramac, était pressenti pour obtenir un guidon dans l'équipe officielle Ducati, qui domine la concurrence depuis deux saisons, en remplacement de l'Italien Enea Bastianini.

Mais le constructeur italien a visiblement fait volte-face au dernier moment et le Madrilène ne formera donc pas de duo avec le double champion du monde en titre transalpin Francesco Bagnaia.

Après quatre saisons chez Ducati marquées par 7 victoires en Grands Prix et 12 succès en sprint, un record, Martin va donc connaître un deuxième constructeur dans la catégorie reine d'ici quelques mois. Il remplacera son compatriote Aleix Espargaro (34 ans), qui avait annoncé il y a dix jours qu'il prendrait sa retraite en fin de saison.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

International

Conflit Israël-Iran: Trump a quitté prématurément le G7

Publié

le

Le président américain Donald Trump va quitter prématurément le sommet du G7. (© KEYSTONE/AP/Suzanne Plunkett)

Donald Trump a quitté en hélicoptère lundi soir le sommet du G7 au Canada, un jour plus tôt qu'initialement prévu, afin de se consacrer selon la Maison Blanche au conflit entre Israël et l'Iran, selon des journalistes sur place

Le président américain a toutefois signé juste avant ce retour précipité pour Washington un communiqué commun dans lequel les chefs d'Etat et de gouvernement du groupe appellent à une "désescalade" au Moyen Orient tout en affirmant le droit d'Israël à "se défendre" et en déclarant que l'Iran ne devra "jamais" pouvoir se doter de l'arme nucléaire.

"A cause de ce qui se passe au Moyen-Orient, le président Trump va partir ce soir après le dîner" avec les autres dirigeants du sommet du G7 au Canada, un jour plus tôt que prévu, avait annoncé lundi sa porte-parole Karoline Leavitt sur X.

Le président américain, dont le séjour dans les Rocheuses canadiennes devait se prolonger jusqu'à mardi en fin de journée et se conclure par une conférence de presse, "rentre à Washington pour s'occuper de nombreux sujets importants", a-t-elle déclaré par ailleurs dans un court communiqué.

Cette annonce vient peu après que Donald Trump a écrit sur son réseau Truth Social: "Tout le monde devrait évacuer Téhéran immédiatement.

Le milliardaire républicain de 79 ans avait auparavant assuré qu'un "accord" allait être trouvé concernant le conflit entre l'Iran et Israël, sans bien expliquer si ce serait le résultat de la contrainte militaire ou de négociations.

Il est par ailleurs resté évasif lundi sur la question d'une participation américaine active à l'offensive aérienne sans précédent d'Israël.

Israël et l'Iran échangent barrages de missiles et menaces guerrières pour la cinquième nuit consécutive, Téhéran annonçant des frappes "sans interruption jusqu'à l'aube" après une nouvelle vague d'attaques israéliennes contre sa télévision nationale et plusieurs autres cibles.

Egalement depuis le Canada, le président français Emmanuel Macron a lui averti que vouloir renverser le régime iranien par la force serait une "erreur stratégique", en appelant à "cesser" les frappes contre les civils, que ce soit en Iran et en Israël.

Le départ prématuré de M. Trump ignifie par ailleurs que la rencontre bilatérale prévue avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky n'aura pas lieu, et que les Européens n'ont guère eu le temps de le convaincre de durcir les sanctions sur le pétrole russe.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Cinquième nuit d'escalade entre Israël et l'Iran

Publié

le

Cette capture d'écran est issue d'une vidéo diffusée par la télévision d'Etat iranienne. Elle montre le siège de la télévision nationale en flammes, après une attaque de drône israélien. (© KEYSTONE/AP)

Israël et l'Iran échangent barrages de missiles et menaces guerrières pour la cinquième nuit consécutive mardi, alimentant les craintes d'escalade de la part des grandes puissances. A tel point que Donald Trump appelle à "évacuer Téhéran immédiatement".

Malgré les appels à la fin des hostilités émis par la communauté internationale, les deux ennemis jurés ne montrent aucun signe d'apaisement dans la confrontation militaire qui les oppose depuis vendredi, quand Israël a lancé une offensive sans précédent contre l'Iran avec l'objectif affiché de l'empêcher de se doter de la bombe atomique.

Après une nouvelle vague de frappes israéliennes qui a touché la télévision nationale iranienne, les deux pays ont activé dans la nuit leurs systèmes de défense anti-aérienne et les capitales étrangères semblent se préparer à une poursuite de l'escalade.

La Chine, via son ambassade, a pressé ses ressortissants à quitter Israël au plus vite tandis que les Etats-Unis ont annoncé déployer des "ressources supplémentaires" au Moyen-Orient pour y renforcer leur "dispositif défensif", selon le ministre de la Défense Peter Hegseth.

Le porte-avions américain Nimitz, qui croisait en mer de Chine méridionale, a mis le cap à l'ouest et prend la direction du Moyen-Orient, selon le Pentagone.

"Tout le monde devrait évacuer Téhéran immédiatement", a déclaré Donald Trump, qui va quitter le sommet des pays riches du G7 prématurément, dès lundi soir, pour se consacrer à l'évolution du conflit.

"L'Iran aurait dû signer l''accord' quand je leur ai dit de signer. Quel dommage et quel gâchis de vies humaines", a tempêté le président républicain, qui avait relancé récemment les négociations avec Téhéran sur le programme nucléaire iranien, sur son réseau Truth Social.

Mais la République islamique s'est retirée de ces pourparlers en raison des attaques israéliennes et sa riposte continue. Les Gardiens de la Révolution, l'armée idéologique de la République islamique, ont annoncé une "neuvième salve d'attaque combinée de drones et missiles (qui) se poursuivra sans interruption jusqu'à l'aube".

Télévision d'Etat attaquée

Les sirènes d'alerte ont retenti à deux reprises mardi à l'aube dans plusieurs points d'Israël, notamment dans le nord, après que l'armée a annoncé avoir "identifié des missiles lancés depuis l'Iran vers le territoire de l'Etat d'Israël". Mais dans les deux cas, les habitants ont été autorisés à quitter les abris quelques instants plus tard.

Selon le bureau du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, les représailles iraniennes ont fait au moins 24 morts depuis vendredi.

Du côté iranien, les frappes israéliennes, qui ont visé des centaines de sites militaires et nucléaires, ont fait au moins 224 morts et plus d'un millier de blessés depuis vendredi, selon un bilan officiel établi dimanche.

Trois secouristes du Croissant-Rouge iranien ont été tués lundi à Téhéran dans un bombardement durant leur travail, a annoncé l'organisation. Et les émissions de la télévision publique iranienne ont été brièvement interrompues par une attaque israélienne contre son bâtiment.

Cette attaque s'est produite alors qu'une présentatrice critiquait vivement Israël à l'antenne. Elle a été vue quittant précipitamment le plateau dans un nuage de poussière, tandis que des débris du plafond tombaient autour d'elle.

Téhéran a condamné "un acte ignoble et un crime de guerre", et a appelé deux chaînes de télévision israéliennes à évacuer leurs locaux.

Changer "la face du Moyen-Orient"

Le Grand Bazar, le principal marché de Téhéran, est resté fermé lundi. Les rues de la capitale étaient pour la plupart désertes, les magasins fermés à l'exception de quelques épiceries, et de nombreux automobilistes faisaient la queue aux stations-service.

Un vendeur a signalé une augmentation des achats compulsifs, disant que son magasin "était en rupture de stocks d'eau".

Lors d'une conférence de presse télévisée lundi, Benjamin Netanyahu a affirmé qu'Israël était en train de changer "la face du Moyen-Orient".

"Nous avons éliminé les responsables de la sécurité de l'Iran parmi lesquels trois chefs d'état-major, le commandant de l'armée de l'air et deux chefs des services de renseignement. Nous les éliminons un par un", s'est-il vanté.

Dans plusieurs interviews à des médias internationaux, le Premier ministre israélien a également lancé un appel au peuple iranien pour qu'il se soulève contre la "tyrannie" et estimé qu'assassiner le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, mettrait "fin au conflit".

"Arrêter la guerre"

Au G7, le président français Emmanuel Macron a estimé que vouloir changer le régime en Iran par la force serait une "erreur stratégique" et a jugé "absolument essentiel que toutes les frappes qui se font de part et d'autre contre des infrastructures énergétiques, administratives, culturelles et encore plus contre la population civile cessent".

"Si les États-Unis peuvent obtenir un cessez-le-feu, c'est une très bonne chose", a également déclaré le dirigeant français, alors que Donald Trump avait assuré dans la soirée qu'un "accord" allait être trouvé. "A ce stade, de manière objective, rien ne me laisse espérer que dans les prochaines heures les choses bougent".

Sur X, le chef de la diplomatie iranienne Abbas Araghchi s'est demandé si le président américain Donald Trump "prend au sérieux la diplomatie et est intéressé d'arrêter la guerre". "Il suffit d'un seul coup de téléphone de Washington pour museler quelqu'un comme Netanyahu", a-t-il écrit.

Ce conflit a éclaté au moment où l'Iran et les Etats-Unis prévoyaient une nouvelle séance de négociations à Oman sur le nucléaire iranien dimanche.

Soupçonné par les Occidentaux et par Israël de vouloir fabriquer l'arme nucléaire, l'Iran dément et défend son droit à enrichir de l'uranium afin de développer un programme nucléaire civil.

Israël affirme avoir détruit "la principale installation" du site d'enrichissement d'uranium de Natanz, dans le centre de l'Iran. L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a cependant affirmé qu'il n'y a "pas d'indication d'attaque" contre la partie souterraine du site, qui abrite la principale usine d'enrichissement.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

Continuer la lecture

Culture

USA: le principal médecin de Matthew Perry va plaider coupable

Publié

le

Matthew Perry lors de l'une de ses dernières apparitions en public en novembre 2022. (© KEYSTONE/AP/Willy Sanjuan)

Le médecin de Matthew Perry, la star de la série "Friends", avant sa mort par overdose en 2023, a accepté un accord de plaider coupable, a annoncé lundi le parquet fédéral de Californie. Le médecin est soupçonné d'avoir exploité l'addiction à la kétamine

Principal médecin poursuivi dans cette affaire, Salvador Plasencia prévoit de plaider coupable de distribution de kétamine "dans les semaines à venir", a expliqué le parquet dans un communiqué. Il risque pour cela jusqu'à "40 ans d'emprisonnement".

Un second médecin de Los Angeles, Mark Chavez, a déjà reconnu avoir illégalement contribué à fournir de la kétamine à l'acteur et risque jusqu'à 10 ans d'emprisonnement.

La mort de Matthew Perry, retrouvé inconscient dans son jacuzzi en octobre 2023, avait choqué les fans de "Friends" et suscité une pluie d'hommages à Hollywood.

L'acteur avait parlé publiquement de ses problèmes d'addiction.

Il prenait de la kétamine de manière supervisée dans le cadre de sessions de thérapie contre la dépression. Mais cet anesthésiant légal est parfois détourné à des fins stimulantes ou euphorisantes, et il est retombé dans l'addiction à l'automne 2023, selon le parquet fédéral.

Une rechute qui l'a poussé dans les griffes de médecins "sans scrupules", d'après les autorités.

Le docteur Salvador Plasencia est soupçonné d'avoir joué un rôle central dans cette affaire, même s'il n'a pas fourni la kétamine qui a tué l'acteur.

Selon l'enquête, c'est lui qui aurait organisé "l'exploitation" du comédien malade.

"Je me demande combien ce crétin va payer", avait écrit en septembre 2023 le docteur Plasencia, dans un SMS exhumé par les enquêteurs.

L'accord de plaider coupable publié lundi par le parquet souligne que M.Plasencia se fournissait auprès du docteur Chavez, et se déplaçait lui-même au domicile de Matthew Perry pour lui injecter de la kétamine, ou la fournir à l'assistant de la star.

Au total, M.Plasencia "a distribué vingt flacons" de kétamine à l'acteur sur une quinzaine de jours à l'automne 2023, selon le parquet.

Les autorités ont précédemment expliqué que les flacons de kétamine coûtaient environ 12 dollars aux médecins impliqués, mais étaient revendus "2'000 dollars" à l'acteur.

Cinq suspects sont poursuivis pour leur implication dans la mort de M.Perry.

L'autre accusée au centre du dossier est Jasveen Sangha, une dealeuse connue à Hollywood comme la "reine de la kétamine".

Cette Américano-Britannique de 41 ans a vendu le flacon de kétamine qui a tué l'acteur, et risque la prison à perpétuité.

L'assistant personnel de Matthew Perry et un intermédiaire ont eux accepté de plaider coupable.

Longs problèmes d'addiction

Véritable phénomène culturel, la série diffusée entre 1994 et 2004 a marqué toute une génération de téléspectateurs, en narrant les péripéties d'une bande de joyeux copains à New York.

Mais en coulisses, Matthew Perry a longtemps caché un mal-être derrière son personnage jovial de Chandler. Il luttait de longue date contre son addiction aux médicaments et à l'alcool.

Dans ses mémoires publiés en 2022, il avait confié avoir suivi 65 séances de sevrage, dépensant plus de neuf millions de dollars.

Il avait aussi subi plusieurs opérations chirurgicales liées à ses problèmes d'addiction à la drogue, dont une intervention durant sept heures au niveau du colon en 2018, allant jusqu'à affirmer: "Je devrais être mort."

Lors d'une apparition à la télévision peu avant son décès, l'acteur avait surpris l'auditoire en admettant avoir souffert d'une grave anxiété "tous les soirs" pendant le tournage de "Friends".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Netanyahu appelle les Iraniens à se lever contre "la tyrannie"

Publié

le

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu s'est adressé au peuple iranien. (© KEYSTONE/AP/Ronen Zvulun)

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a lancé un appel lundi au peuple iranien pour qu'il se lève contre la "tyrannie" au pouvoir à Téhéran, estimant qu'il aura "une occasion d'être bientôt libre", dans une interview donnée à la chaîne "Iran International".

Une "lumière a été allumée, portez-la vers la liberté", a-t-il lancé.

Dans cette interview de 13 minutes, le Premier ministre israélien a insisté sur le fait que le peuple iranien n'est pas un "ennemi".

"Nous avons un ennemi commun et nous le combattons avec détermination, et je crois que vous allez avoir une occasion d'être bientôt libres", a-t-il encore dit.

Israël a lancé vendredi une campagne aérienne massive d'une ampleur sans précédent contre l'Iran, en ciblant des centaines de sites militaires et nucléaires, avec l'objectif affiché de l'empêcher de se doter de l'arme nucléaire. L'Iran tire depuis des salves de missiles en riposte.

"C'est le mal contre le bien, et il est temps que les bonnes personnes se lèvent avec les bonnes personnes - les bonnes personnes en Iran et les bonnes personnes partout dans le monde - contre cette folie qui nous est imposée à tous par cette tyrannie", a déclaré M. Netanyahu.

"Je sais que l'Iran peut retrouver sa grandeur. C'était une grande civilisation, et cette voyoucratie théologique qui a pris votre pays en otage ne durera pas longtemps", a-t-il affirmé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

L'évolution des religions depuis 2010 documentée

Publié

le

Pour la première fois, le christianisme est revendiqué par moins de la moitié de la population dans plusieurs pays: France, Royaume-Uni, Australie et Uruguay. (photo symbolique) (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Le christianisme reste la première religion dans le monde, mais l'islam est en croissance et les non-croyants de plus en plus nombreux, selon une vaste étude du Pew Research Center sur l'évolution du paysage religieux entre 2010 et 2020.

Avec 2,3 milliards de personnes (+122 millions), "les chrétiens restent le plus important groupe religieux dans le monde" et ils représentent 28,8% de la population, souligne cette méta-analyse réalisée sur la base de plus de 2700 études et recensements et publiée le 9 juin.

Le christianisme n'a toutefois pas réussi à progresser au rythme de la population mondiale, et son poids a reculé de 1,8 point.

Deuxième religion du monde avec 2 milliards de personnes (+347 millions), l'islam a connu "la croissance la plus rapide de la décennie". Il représente 25,6% de la population mondiale (+1,8 point).

Sans religion en progression

Les non-croyants sont eux aussi de plus en plus nombreux (1,9 milliard de personnes) soit près d'un quart (24,2%) de la population mondiale.

En effet, "de nombreux croyants dans le monde, essentiellement des chrétiens, 'sortent' de la religion", explique l'étude qui parle de progression "frappante".

En dix ans, les Etats-Unis (où le christianisme a reculé de 14 points sur la période) ont ainsi vu le nombre de non-croyants quasiment doubler à 101 millions de personnes: ce sont 30% de la population qui se définissent comme athées, agnostiques ou "rien de particulier".

Les sans-religions représentent également plus de la moitié de la population aux Pays-Bas, en Uruguay et en Nouvelle-Zélande.

Le monde comptait aussi 1,2 milliard d'hindous, 300'000 bouddhistes et 14,8 millions de juifs en 2020.

Géographiquement, la région abritant le plus de chrétiens (30,7%) est désormais l'Afrique sub-saharienne, et non plus l'Europe (22,3%): une tendance que l'étude explique par la démographie et "la désaffiliation chrétienne généralisée en Europe occidentale".

Le christianisme reste majoritaire dans 120 pays, contre 124 dix ans auparavant. Mais pour la première fois il est revendiqué par moins de la moitié de la population dans plusieurs pays: France, Royaume-Uni, Australie et Uruguay.

Dans chacun de ces pays "les non-croyants représentent désormais 40% ou plus de la population", tandis que les autres croyants (musulmans, hindous, juifs...) pèsent ensemble "11% ou moins".

Deux mécanismes

Pourquoi ces changements ? L'étude invoque "deux mécanismes primordiaux": la désaffection religieuse, "principal moteur du déclin de la proportion de chrétiens dans la population mondiale" et l'augmentation démographique.

La progression de l'islam s'explique donc largement par la croissance générale de la population dans les pays musulmans, du fait "d'une pyramide des âges relativement jeune et d'un taux de natalité relativement élevé".

L'étude note aussi que "les habitants des pays les plus riches sont en moyenne moins croyants que ceux des économies moins avancées".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Derniers titres

Publicité

L'info en continu

InternationalIl y a 4 heures

Conflit Israël-Iran: Trump a quitté prématurément le G7

Donald Trump a quitté en hélicoptère lundi soir le sommet du G7 au Canada, un jour plus tôt qu'initialement prévu,...

InternationalIl y a 5 heures

Cinquième nuit d'escalade entre Israël et l'Iran

Israël et l'Iran échangent barrages de missiles et menaces guerrières pour la cinquième nuit consécutive...

CultureIl y a 6 heures

USA: le principal médecin de Matthew Perry va plaider coupable

Le médecin de Matthew Perry, la star de la série "Friends", avant sa mort par...

InternationalIl y a 7 heures

Netanyahu appelle les Iraniens à se lever contre "la tyrannie"

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a lancé un appel lundi au peuple iranien pour...

GenèveIl y a 8 heures

Le Centre Genève lance Xavier Magnin dans la course

Le Centre Genève lance Xavier Magnin pour l'élection complémentaire au Conseil d'Etat, qui aura lieu...

SuisseIl y a 9 heures

Une rente de cinq ans grâce à l'Eurodreams

Une personne chanceuse a décroché une rente mensuelle de 2222 francs durant cinq ans grâce...

SuisseIl y a 12 heures

L'omission de prêter secours en cas de viol reste non punissable

Ne pas porter secours à une personne victime d'un viol restera non punissable. Contre l'avis...

Suisse RomandeIl y a 12 heures

Vaud: les enseignantes des 1-2P manifestent à Lausanne

Des maîtresses des classes 1-2P vaudoises se sont mobilisées lundi pour réclamer davantage de moyens...

InternationalIl y a 13 heures

L'évolution des religions depuis 2010 documentée

Le christianisme reste la première religion dans le monde, mais l'islam est en croissance et...

SuisseIl y a 13 heures

Initiatives: le Parlement ouvre la porte aux récoltes numériques

Les signatures pour des initiatives populaires et des référendums doivent pouvoir être récoltées au moyen...

OSZAR »